ELIMINATION DES EFFLUENTS LIQUIDES DES ETABLISSEMENTS HOSPITALIERS. Recommandations
Toute activité humaine génère des déchets solides et liquides. Les nombreux travaux réalisés ces dernières années sur les filières et les modes d’élimination des déchets solides ont démontré l’intéret que les professionnels de santé et administratifs des hopitaux ainsi que les pouvoirs publics attachent à ce sujet en particulier, et à la protection de l’environnement et de la Santé Publique en général.
Cette prise de conscience est apparue de façon concomitante avec de nouveaux micro-organismes (VIH, bactéries multi-résistantes et prions) et a évolué avec les progrès des techniques médicales et l’application des règles d’asepsie allant de pair avec l’extension de l’utilisation des usages uniques.
Les centres hospitaliers dont la taille correspond à des petites ou moyennes agglomérations utilisent pour leurs activités et leur hygiène, de grands volumes d’eau qui se trouvent ensuite rejetés, chargés de micro-organismes dont certains sont multirésistants et de produits chimiques souvent toxiques et parfois radioactifs.
Toutes ces technologies nouvelles qui répondent à des progrès en matière de soins ( hémodialyse, radiologie, laboratoires de hautes technologies… ) ne doivent pas compromettre l’éco-système aquatique de nos rivières et de nos mers.
L’homme a le devoir de protéger ses semblables et son environnement .Dans ce document, nous avons envisagé les principales activités de la vie hospitalière (services de soins et de logistique susceptibles d’avoir un impact sur l’environnement) en analysant les difficultés et les risques qu’elles génèrent et en proposant des solutions conformes à la réglementation en vigueur. Des conduites à tenir les plus pragmatiques possibles ont été proposées. L’expérience en matière d’hygiène de l’environnement est souvent encore insuffisante et le sujet trop souvent minimisé par rapport à la lutte contre l’infection nosocomiale.
Cette prise de conscience est apparue de façon concomitante avec de nouveaux micro-organismes (VIH, bactéries multi-résistantes et prions) et a évolué avec les progrès des techniques médicales et l’application des règles d’asepsie allant de pair avec l’extension de l’utilisation des usages uniques.
Les centres hospitaliers dont la taille correspond à des petites ou moyennes agglomérations utilisent pour leurs activités et leur hygiène, de grands volumes d’eau qui se trouvent ensuite rejetés, chargés de micro-organismes dont certains sont multirésistants et de produits chimiques souvent toxiques et parfois radioactifs.
Toutes ces technologies nouvelles qui répondent à des progrès en matière de soins ( hémodialyse, radiologie, laboratoires de hautes technologies… ) ne doivent pas compromettre l’éco-système aquatique de nos rivières et de nos mers.
L’homme a le devoir de protéger ses semblables et son environnement .Dans ce document, nous avons envisagé les principales activités de la vie hospitalière (services de soins et de logistique susceptibles d’avoir un impact sur l’environnement) en analysant les difficultés et les risques qu’elles génèrent et en proposant des solutions conformes à la réglementation en vigueur. Des conduites à tenir les plus pragmatiques possibles ont été proposées. L’expérience en matière d’hygiène de l’environnement est souvent encore insuffisante et le sujet trop souvent minimisé par rapport à la lutte contre l’infection nosocomiale.
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